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Balade à Aire-sur-la-Lys du samedi 9/09/2017

     Pour cette seizième   édition des "balades de septembre", notre copain   Robert BERNARD s'était proposé pour nous faire visiter Aire-sur-la-Lys.

 

    

       Claude SARRAT, fidèle au poste, a supervisé l'ensemble.

    

     Nous étions 37 à nous retrouver cette année, avec nos épouses ou compagnes. 

     Christian et  Blandine AUDUBERT  se sont excusés (Ils se sont trompés de date, les bougres). Daniel  et Micheline LEFEBVRE  se sont aussi excusés, de même que Louis et Marie-Thérèse FOURMEAUX.

     Alain et Mauricette COLLETTE, ainsi que  que Jean-Paul DEMARCQ, nous ont rejoint pour le repas.

    

AGUILAR Pédro et Rose

ANSEL Patrick et Francine

BERNARD Robert et Marie-Paule

BOULET Jean-Pierre et Marie-Hélène

BUÉ Lionel et Annick

CHARLET Jean-Louis et Annie

COLLETTE Alain et Mauricette

DEMARCQ Jean-Paul

DREUILLE Jean-Claude et Françoise

GRARE Bernard et Eliane

GRAUX Daniel et Nelly

KASPERSKI Michel

LEPRETRE Lionel

MAUCONDUIT Michel et Mireille

PETIT Bruno et Thérèse

PICQUÉ Jean-Louis et Hélène

PONTUS Jean-Pierre et Marie-Ange

SAGOT Daniel et Michèle

SANTERNE Christian et Claudine

SARRAT Claude et Monique

    

      ********************

 Programme de la journée du 9 Septembre 2017.

     La journée fut très agréable et son organisation par Robert BERNARD parfaite. Les prévisions météo nous avaient fait craindre le pire pour la balade de l'après-midi, mais heureusement pour nous, Météo-France s'est trompé et nous avons eu une belle journée ensoleillée.

    

Les photos regroupées dans cette page, dans des présentations PowerPoint, sont de Michel MAUCONDUIT, Bruno PETIT,  Claude SARRAT

Pour lire les diaporamas, vous aurez besoin d'avoir installé Microsoft PowerPoint, ou simplement une Visionneuse Powerpoint.

Patientez une dizaine de secondes pendant le téléchargement des gros fichiers.

 

9H00 : Accueil au restaurant  Le Mardyck, 31 rue de Paris à Aire-sur-la-Lys (62120) (  03.21.88.31.44: café jus de fruits, viennoiseries à profusion.

 

           

    

 

 

Notre collègue Pedro AGUILAR, grand copain de Vévé  (Hervé CHARPENTIER) a pris la parole quelques minutes pour exprimer les regrets de Vévé de ne pas être là avec nous, aujourd'hui, avec son épouse Janine, comme il aurait tant voulu l'être.

     Il avait participé  à toutes nos journées de retrouvailles ou presque, depuis le début, et il s'est battu jusqu'au bout pour tenir encore un peu, mais la maladie a eu raison de sa force et de sa volonté le 2 août 2017, quelques semaines avant notre réunion annuelle. Janine, après avoir longuement hésité, n'a pas souhaité se joindre à nous.  

     Chacun de nous a signé un petit mot rédigé par Jean-Louis PICQ pour Janine.

 

 

  

   Comme toujours l'ambiance était excellente et chacun était content de retrouver les copains et de s'échanger les dernières nouvelles.

 

Pour visionner un diaporama de l'accueil, cliquez sur l'image ci-contre...

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9H45: Départ pour une promenade éducative  dans le centre ville d'Aire-sur-la-Lys et de ses monuments prestigieux, le bailliage, l'hôtel de ville et son beffroi, la collégiale...

 

Jean FOURNIER (ENG Arras 54-58)

    

     Cette visite a été  guidée par Jean FOURNIER, ancien normalien d'Arras de la promotion 1954-1958.

 

     Je n'ai pas pris en note les innombrables renseignements fournis par notre collègue Jean FOURNIER tout au long de cette agréable promenade sous le soleil d'Aire-sur-la-Lys.  Je salue ici son éloquence, sa passion pour l'histoire de la ville, et son impressionnante mémoire. En voici quelques éléments remémorés grâce à Internet:

     AIRE, "Villa Aria", apparaît en 857 sous ce nom et elle possède son église ("Monasterium"). Plus bas, au pied de la colline,  un rivage y était établi  favorisant le modeste commerce de la Villa et qu'accostaient les bateaux remontant la Lys et déchargeant là leurs marchandises à destination de St-Omer.

     Le bourg  fait d'abord partie du Comté de Flandres. Aire fera ensuite partie de l'Artois, reviendra à la Maison de Bourgogne au XVème siècle, puis, par le jeu des héritages, sera espagnole pendant de longues années .  Reprise par Louis XIV lors du traité d'Utrecht (1713), elle deviendra alors définitivement française.
     A cette époque, la ville connaît une grande prospérité : 5 casernes, des remparts édifiés par Vauban, certaines maisons d'époque ont été conservées. 
     Sous la Révolution, Aire a bien failli devenir chef-lieu de département, mais c'est Arras que Robespierre a finalement choisi.
     Les deux guerres mondiales ont causées de grands dégâts dans le centre ville. En août 1944, un terrible bombardement abat l'abside de la Collégiale et de nombreuses maisons sont endommagées. L'administration des Monuments Historiques aide la Municipalité à garder l'élégance architecturale héritée des XVIIème et XVIIIème siècles qui vit l'édification de nos plus beaux monuments.

 

Le bailliage:

     Elégant édifice de style Renaissance flamande.

 

    

     Appelé ainsi car il a accueilli à plusieurs reprises le tribunal du bailli aux XVIIème et XVIIIème  siècles, il a été originellement bâti pour servir de corps de garde à la milice de la ville.
     Né de la politique de grands travaux menée par les Magistrats du début du XVIIème siècle, le bailliage a été inauguré le 22 novembre 1600 après quelques mois de travaux seulement. Le bâtiment ne fut cependant achevé que quelques années plus tard. La rapidité de la construction s'explique par le fait que l'architecte Pierre FRAMERY se soit largement inspiré de l'ancien Hôtel de Ville d'Amsterdam, disparu en 1651.
     Le bailliage est installé à l'angle de la Grand'Place, de la rue du Bourg et de la rue d'Arras et se situe à quelques mètres à peine de l'Hôtel de Ville.
     L'édifice, de conception flamande et de style Renaissance, se présente comme un quadrilatère irrégulier de 125 m2 de surface au sol. Il comporte quatre niveaux: la cave, le  rez-de-chaussée avec sa galerie-promenoir bordée de huit colonnes monolithes juchées sur de hauts piédestaux, et la salle du rez-de-chaussée, l’'étage percé de larges fenêtres à meneaux et croisillon avec sa grande salle,  et les combles. Un escalier de bois, dont la rampe est d'origine, relie le rez-de-chaussée à la salle du premier étage, la plus grande du bâtiment (10 m x 11 m).

     Les trois façades sont ornées de frises de pierre et font la renommée de l'édifice.. Au-dessus de la galerie, la première frise représente des entrelacs de chasse et de guerre, le briquet de Bourgogne.

     Entre les fenêtres : une niche vidée de sa statue sous la Révolution et côté grand-place, une bretèche au toit pointu portant les armes de la ville.
     Le décor sculpté fut l’objet de toutes les attentions. Les principaux motifs et thèmes décoratifs du Bailliage sont largement inspirés de la renaissance italienne.

     Au sommet de l'édifice, une frise comporte les attributs de la Toison d'or et est surmontée de statues représentant les trois vertus théologales (La foi, la charité, et l'espérance), les quatre vertus cardinales (La prudence, la tempérance, la force d'âme et la justice), les quatre éléments (La Terre, l'eau, l'air et le feu), et un dernier personnage non identifié.
     Rue du Bourg, deux cartouches « ANNO » et « 1600 » indiquent la date de construction du bâtiment.

     Fièrement campés aux 4 angles de l'attique, des lions assis tiennent entre leurs griffes l'écusson de Bourgogne.
     Le bailliage a connu de multiples utilisations, d'Hôtel de Ville provisoire à commissariat de police aux XIXème et XXème siècles. Il accueille depuis 1970 l'Office de tourisme d'Aire-sur-la-Lys.  La grande salle de l'étage est quant à elle utilisée pour des expositions temporaires.
     Le bailliage a été classé Monument historique en 1886. Il a subi de nombreuses restaurations dont la dernière en 2015.

 

Pour visionner un diaporama de la visite du baillage, cliquez sur l'image ci-contre...

 

L'hôtel de ville et son beffroi:

     Sur la grand-place, des maisons du XVIIIème siècle, avec de très beaux chapiteaux,  encadrent l'Hôtel de Ville.

 


    

      L'hôtel de ville, grandiose et merveilleusement proportionné, construit de 1717 à 1721 par HEROGUEL, rappelle l'architecture du siècle de Louis XIV. Ses onze fenêtres sont disposées de chaque côté d'un balcon en cul de lampe.
     Entouré des statues de la justice et de la Force, le fronton représente les armes de la ville « Aigle becqué et onglé ».
     L'Hôtel de Ville conserve dans une vaste salle du rez-de-chaussée une des plus riches bibliothèques du département du Pas-de-Calais.
     Le Beffroi, édifice de briques rouges et noires et de pierre calcaire,  haut de 45 m, s'élève à l'arrière de l'hôtel de ville, avec lequel il communique par la salle du Loup, qui abritait autrefois les documents précieux de la commune. Il a été inscrit en 2005 sur la liste du Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.

     Reposant sur quatre gros piliers en brique et pierre de deux mètres d’épaisseur délimitant un espace intérieur carré de six mètres de côté, son style s'apparente au baroque.

     Il est constitué de deux parties à peu près égales : la partie inférieure en brique, la moitié supérieure s’élevant au-dessus des toitures de l’hôtel de ville entièrement en pierre.  

     Surplombant le beffroi, le campanile octogonal est entièrement vitré et coiffé d’un dôme d’ardoises, surmonté d’une petite flèche ajourée.

     L’intérieur du beffroi comporte sept étages :

     Au premier, la Salle au loup a gardé son plancher et sa salle voûtée d’origine, où une grande partie des archives municipales est entreposée.

     Les deux niveaux suivants sont desservis par un escalier en vis de 102 marches.

     Au quatrième, on remarque les deux grosses cloches qui ont remplacé en 1925 et 1926 «la Bancloque» et le « Vigneron ».

     Au cinquième étage se trouve le râtelier des quatorze cloches du carillon, pour un poids total de 2500 kilos . La plus imposante cloche pèse 260 kg, la plus petite 26 kg. De ce carillon s'égrènent tous les quarts d'heure, des airs populaires.

     Au sixième étage, on trouve les quatre bras de fer qui commandent les aiguilles dorées des cadrans de l’horloge.

     Au dernier niveau, on accède à l’intérieur du campanile, vaste pièce octogonale, éclairée de huit grandes fenêtres : il aura fallu grimper 236 marches pour en arriver là !

     Historique:

     En 1179, construction du premier « cloquier » (ancêtre du beffroi). En 1355, les échevins reçoivent le droit de faire bâtir une halle qu’ils accompagnent d’un second cloquier  en bois pour surveiller la ville. Le gouverneur d’Artois donne l’autorisation d’y pendre une "bancloque", cloche servant à régler le travail des ouvriers. Les chartes, sceaux et autres trésors de la ville sont conservés en son sein. En 1447. reconstruction du beffroi en pierres et en briques. Il sera doté d’une deuxième cloche « Le Vigneron » qui sonnait l’heure de fermeture des cabarets. En 1708 : le beffroi s’écroule de vétusté. En 1713 le traité d’Utrecht rend Aire au royaume de France, les échevins entreprennent des démarches à Versailles pour obtenir l’autorisation de reconstruire leur hôtel de ville. Celle-ci est accordée par Louis XIV en 1715 et la reconstruction de l’actuel beffroi commence sur des plans de l’architecte du roi HEROGUEL. Il sera achevé en 1724 pour un coût de 97 000 livres.

     Depuis lors, le beffroi a subi quelques restaurations suite aux incendies de 1872 et 1914, mais sans altérer son aspect général. En 1914 : incendie du beffroi. Seuls le campanile et les éléments intérieurs en bois sont consumés. L’horlogerie, le carillon et les deux grosses cloches se sont écroulées sur la voûte de la salle du loup située au 1er étage. C’est à partir de cette date qu’il fut mis fin aux fonctions de guetteur qui jusqu’alors surveillait la ville du haut de sa tour. En effet, le beffroi servait de tour de guet. Sentinelle de la cité, le guetteur, avec son cornet, donnait l’alerte pour les incendies et avertissait les habitants de l’approche d’une armée ennemie. En 1923, restauration à l’identique selon les plans du béthunois Jacques ALLEMAN, financée par la ville d’Aire car le beffroi n’est pas encore classé. En 1947,  le beffroi est classé Monument Historique, et en 2005, il est classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. En 2013, travaux de réhabilitation du Beffroi: Avec la réhabilitation de la balustrade à cette date, vous avez désormais accès à une vue imprenable sur les alentours.  Nous n'avons pas eu l'occasion de monter au sommet du beffroi. Il parait en effet qu'on y découvre un magnifique panorama, une vue imprenable sur la ville, et que, par beau temps, on  aperçoit au loin les monts des Flandres et les terrils du bassin minier.

 

     En quittant la Grand-Place, nous avons emprunté le passage des Hallettes sous l'Hôtel de Ville : les poutres, les briques diversement colorées et le plafond voûté en ogive méritent l'attention. Dommage qu'on ait jugé bon d'encombrer ce passage de constructions très disgracieuses qui encombrent et défigurent l'endroit.
  

  Pour visionner un diaporama de la visite de l'Hôtel de ville et du Beffroi, cliquez sur l'image ci-contre...

La collégiale St-Pierre:

 

     Historique et description sur : http://collegiale.free.fr/index.htm  site du Comité de Sauvegarde de la Collégiale Saint-Pierre ( tél : 06 84 82 09 28 ) 

     Fondée par Baudouin le Pieux en 1059, la Collégiale fut 3 fois détruite par des incendies. Au XVème siècle, sa reconstruction s'imposait et se poursuivit pendant 1 siècle et demi.
     Ce vaste édifice gothique flamboyant de briques et de pierres reste le plus beau fleuron de la ville. Au XVIIIème, siècle, on réédifia la tour dans sa grâce altière alliée à une grande robustesse ; elle semble dominer l'horizon de la Cité.
     A l'intérieur : l'imposante nef centrale est composée de 3 styles différents, témoignage des reconstructions successives. C'est Mgr SCOTT, en 1840, qui a fait exécuter le décor d'inspiration italienne ainsi que les sculptures garnissant les chapelles. On pourra aussi s'arrêter devant
- le magnifique buffet d'orgues de 1633, acheté sous la Révolution à l' ancienne Abbaye de Clairmarais ;
- le jubé en bois sculpté qui a valeur de rareté ;
- la statue de N.-D. Panetière en chêne doré, protectrice de la ville, et honorée par une procession en août ;
- la chapelle du St Sacrement et sa Vierge à l'enfant du XVIème siècle.
     L’église collégiale d’Aire-sur-la-Lys n’a pas été construite pour servir de paroisse. Elle ne l’est devenue qu’en 1802. A l’origine, elle était l’église d’un chapitre de chanoines. Ils étaient nombreux, vivaient entourés d’ un personnel important et possédaient droit de justice et souveraineté seigneuriale. De plus, les rois d’Espagne avaient voulu une tour puissante dans une ville militaire, bastion des Pays-Bas.

     Il est peu d’édifices qui aient autant souffert des guerres que cette église collégiale, meurtrie des boulets français, espagnols, anglais, saxons et néerlandais, à peine rétablie pour connaître de nouveaux désastres, mais retrouvant toujours la vie après les pires mutilations. Le plan d’origine a été respecté de bout en bout après chacune de ces reconstructions, ce qui doit être signalé.

     Les dommages causés par la dernière guerre n’ont pas encore été tous réparés. La tour donnait il y a peu encore de sérieuses inquiétudes. Deux fenêtres hautes se sont effondrées le 21 février 1999. Des travaux urgents ont été entrepris en 2005 pour la remise en état de la tour.

 

  Pour visionner un diaporama de la visite de la collégiale, cliquez sur l'image ci-contre...

 

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12H15: Déjeuner  au restaurant Le Mardyck, 31 rue de Paris 62120 Aire-sur-la-Lys  (  03.21.88.31.44

   

Menu

Apéritif  :

    Kir

Entrée :

     Terrine d'endives avec crudités - Charcuterie

Plat Principal :

     Filets de poulet avec une crème de champignons - Frites    

Fromages

Dessert :

     Gâteau moelleux au chocolat    

Eau plate et gazeuse.

Vins   au verre (rosé, rouge)

Café

 

     Le repas était délicieux et les vins aussi.

     Remercions encore le personnel pour la qualité de son accueil et son service parfait.

 

      Pour visionner un diaporama du repas, cliquez sur la vignette ci-contre...

 

 

 

     Michel KASPERSKY nous a fait redécouvrir "Au clair de la lune" cette innocente comptine enfantine, grâce à une explication de texte qui aurait surement ravi "Ch'Boeu", puis il nous l'a interprétée dans une version non édulcorée de Colette RENARD.     (Cliquez sur le lien pour lire)

 

 

 

Patrick et Bernadette GOBLET n'étaient pas avec nous physiquement, mais ils l'étaient par le cœur et par l'esprit, et aussi par la bouche, en nous faisant parvenir des délicieux chocolats accompagnés  d'un gentil petit mot, qui furent très appréciés. Merci à eux !

    

     A la fin du repas, on réalisé la photo de groupe incontournable dans la cour intérieure du restaurant Le Mardyck.

 

 Cliquez sur la vignette ci-contre pour visionner une photo du groupe dans la cour du restaurant Le Mardyck. Vous pouvez zoomer dans la photo pour mieux voir nos tronches...

Pour identifier (si besoin) les camarades et leurs épouses, cliquez sur le lien ci-dessous:

2017_09_09_aire_groupe.txt

   

 

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14H30 : On a repris les voitures pour aller faire une promenade digestive sur les bords des étangs des Balastières, à l'extérieur de la ville d'Aire-sur-la-Lys.

 

  Pour visionner un diaporama de la visite des Balastières, cliquez sur la vignette ci-contre

    

     On s'est quittés vers 16H30, toujours sous le soleil de fin d'été, et enchantés de cette journée de retrouvailles.

 

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L’ensemble des prestations de la journée nous a été offert pour 29 euros par personne. (27 € pour l'accueil et le repas au Mardyck, et 2 € pour offrir un cadeau à Jean FOURNIER, notre guide bénévole).

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Pour l'an prochain...

 

     Notre journée de retrouvailles sera organisée par notre camarade Daniel SAGOT, pour une  visite du Louvre-Lens et de la brasserie "Page 24" à Aix-Noulette

 

La date serait le samedi  8 septembre 2018.

Pensez à réservez cette date dès maintenant... et soyons nombreux !

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      Avant de clôturer cette page, je voudrais saluer la mémoire de notre camarade Hervé CHARPENTIER, décédé le 2 août 2017.

     Nous ne t'oublions pas, Vévé...