Yvette LAUBUS

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Surnommée "Yvette"

Yvette LAUBUS fut professeur d' Anglais à l'École Normale d'Instituteurs d'Arras de 1960 à 1961.

 

 

Denis LAMARRE (57-61):

    La photo d' Yvette m'a interpellé: en 1960, j'entrais en 4ème année, et, pour les gredins de mon espèce, l'arrivée d'un professeur - dame ne passe pas inaperçue. En fait, elle remplaçait Mr ODENT (surnommé "Pine à eau").
    Quelques uns parmi les plus téméraires d'entre nous avaient tenté une prise de contact, verbalement, et "s'étaient fait jeter". Donc, finement, nous en avions conclu que LAUBUS n'était pas un canon (ha, ha, ha!)."
 

Jean-Claude DREUILLE:

    Quelqu'un lui avait dit un jour : " Yvette, t'as d' belles fesses ! " . Nous avions tous été collés !

 

Daniel CACHERA:

    Je me souviens de la jeune prof d'anglais à qui DELAHAYE déclarait qu'elle avait de belles jambes.

 

Bruno PETIT:

    Elle était gentille. Trop même. Mais question devanture, ce n'était pas Ursula ANDRESS ! Pourtant, un jour, elle fit une entrée remarquée, tant son chemisier semblait tendu par deux proéminences sous-jacentes inhabituelles! J'avais appris, déjà à cette époque, grâce à des copains très au fait des questions féminines, que les hormones capricieuses de ces dames peuvent provoquer des variations de volume cycliques assez conséquentes sous le chemisier. Depuis lors, j'ai d'ailleurs pu le constater à maintes reprises,  de visu (et même de manu), au cours d'une longue vie conjugale, constat d'autant plus évident quand le chemisier était ôté. Mais ce jour là, avec Yvette, nous étions tous ébahis et tout émoustillés, naturellement ! Nos hormones juvéniles à nous, stimulées par cette vision fantasmatique, produisirent à leur tour des variations de volume et des proéminences dans les pantalons. Nous étions subjugués. Mais une fois la grosse émotion retombée, si j'ose dire, la cervelle se remit à fonctionner un peu plus normalement et certaines interrogations naquirent, bientôt suivies par certains doutes. Le cours terminé, les commentaires allèrent bon train et on en vint à émettre l'hypothèse d'une supercherie mettant en jeu des accessoires gonflables. Certains allèrent même jusqu'à proposer sans complexe le test de l'épingle. On réfléchit même quelques temps à la manière de le réaliser. Heureusement, on n'eût pas à le faire car quelques jours plus tard, Yvette fit son entrée avec les mêmes  proéminences flatteuses, mais dont l'une paraissait placée nettement plus haut que l'autre sous le chemisier. Était-ce celle de droite ou celle de gauche ? Je ne suis plus fichu de m'en souvenir !   Qu'importe après tout ! Nous en conclûmes que notre hypothèse était fondée. Dans les semaines qui suivirent, l'anatomie d' Yvette redevint plus modeste et mieux équilibrée! ...Et si tout cela n'était que fantasme et médisance ?

 

Pédro AGUILAR (relayé par Hervé CHARPENTIER):

    Cela se passait en 1ère A, pendant un cours d'anglais avec Yvette LAUBUS. Elle interroge Robert BERNARD et celui-ci, pour lui répondre, chaussa une paire de lunettes... sans verres. Et pendant toute l'interrogation, il n'arrêta pas de nettoyer ses verres... en passant ses doigts à travers ses lunettes. A la fin de l'interrogation, elle ne s'était toujours aperçu de rien. Heureusement, car si elle s'était mise en colère, gare aux dégâts. Car tout le monde sait que LAUBUS explose.

 

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Yvette, professeur d'anglais en 1ère C (1960 - 1961)

JC DREUILLE 127 Ko

 

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